Les séries de photographies Dagyde et Agnosis, sont l’une comme l’autre inspirées de l’univers du cinéma. En effet depuis de nombreuses années mon travail qu’il soit monumental, lié à la vidéo ou photographique, revisite et questionne la notion d’histoire de l’art et de patrimoine.
Ma série “Agnosis” revisite le patrimoine cinématographique en mettant en évidence une vision structuraliste du discours image / langage. Dans cette série, je traite du langage d’un point de vue esthétique et sémantique.
Dans la sorcellerie occidentale, la poupée qui sert à jeter des sorts est appelée “Dagyde” (du grec
dagos, poupée). Elle apparaît dès l'Antiquité, piquée d'aiguilles, coupée ou brûlée à certains endroits, la personne visée est censée souffrir à l’emplacement où la poupée a été atteinte.
Éric VASSAL
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Œuvres exposées
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VASSAL É. Agnosis - À bout de souffle 32 x 42 cm / Tirage unique (Jean Seberg)
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VASSAL É. Agnosis, Montage sous cadre vitrine
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VASSAL É. Agnosis détail
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VASSAL É. Dagyde - Photographie et épingles - d'après The big clock 1948 (Détail)
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VASSAL É. Dagyde - Photographie et épingles - Eric Vassal d'après Stagecoach 1939 copie
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VASSAL É Dagyde - Photographie et épingles - d'après Printemps tardif 1949
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VASSAL É. Dagyde - Photographie et épingles - d'après Ox bow incident 1943 1/1
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VASSAL É. Dagyde - Photographie et épingles d'après Phantom lady 1-2 1944
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VASSAL É. Dagyde - Photographie et épingles -d'après Psychose 1960